Concorès 9 aout 1963

Ma chère petite Suzanne

Me voici arrivé depuis peu à Concorès, assez fatigué d’ailleurs après le séjour de Paris rendu encore plus pénible par les fortes chaleurs de juillet.

Je suppose que vous êtes en ce moment dans une résidence alpine et que vous vous reposez, ainsi que votre maman, en pleine nature.

J’espère que la Poste fera suivre votre courrier et que mes bons vœux d’heureuse fête vous parviendront là où vous êtes. J’attends de connaitre votre adresse actuelle pour vous écrire plus longuement.

En vous souhaitant de bonnes vacances, je vous embrasse chère Suzanne, bien tendrement et en vous remerciant bien tardivement (ce dont je m’excuse beaucoup) de vos gentils vœux de fête qui me firent grand plaisir.

Henry

Agrandissement de la demeure de Concorès

Agrandissement de la demeure de Concorès

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