Paris le 1er janvier 1961

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Paris le 22 décembre 1960

Ma bien chère Suzanne

Combien souvent, ces temps-ci, j’ai été désireux de vous écrire ! Et je ne le faisais pas pour une raison bien simple que sans doute vous ne soupçonniez pas. Alors je suis bien obligé de vous la dévoiler.

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Paris samedi 26 novembre 1960

Ma chère Suzanne

Je comprends parfaitement que vous soyez mécontente de moi et vous ne me le laissez pas ignorer, comme me le prouve votre dernière lettre que je viens seulement de lire, à mon retour après plusieurs semaines d’absence.

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Télégramme du 10 octobre 1960

Paris dimanche 25 sept. 1960

Ma chère petite Suzanne

J’espère que vous avez reçu au début du mois ma lettre où je vous informais de mon retour à Pairs et où, en vous remerciant de la vôtre, je vous souhaitais de bonnes vacances.

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Concorès le 29 aout 1960

Ma chère petite Suzanne

J’espère que ma lettre vous parviendra avant votre départ pour St Étienne de Tinée, lettre qui vous apportera tous mes meilleurs vœux de bonnes vacances pour vous et votre maman. J’espère que vous aurez la chance d’avoir un beau mois de septembre, que vous allez bien vous reposer physiquement et moralement et que vous reviendrez tout à fait d’attaque pour affronter le voyage à Paris.

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Concorès le 10 aout 1960

Ma chère petite Suzanne

Je viens d’arriver à Concorès, encore assez fatigué. J’espère me remettre au cours de ce séjour, mais je me demande si je vais rester longtemps ici où nous subissons pluie et orages continuels. La maison, qui a été fermée toute l’année, est particulièrement humide et froide avec une année aussi pluvieuse. La campagne manque de charme par un temps pareil.

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Paris le 6 aout 1960

Ma chère petite Suzanne

Je suis vraiment terriblement ennuyé et ne recevant rien de moi, vous devez vous demander ce qui se passe.

Ce qui se passe, le voici.

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Paris le 10 juillet 1960

Ma chère petite Suzanne

Vos réflexions au sujet de ma cousine sont évidemment pleines de bons sens. A vrai dire, il aurait mieux valu qu’elle resta à Gourdon. Mais à ce moment-là, je ne la croyais pas aussi atteinte et je ne pensais pas que tout serait toujours à recommencer.

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Paris le 5 juillet 1960

Ma chère petite Suzanne

Vous continuez toujours à me combler ! Dernièrement encore, à l’occasion de ma fête. Vous m’avez envoyé un magnifique volume qui m’a fait un très grand plaisir, mais qui m’a également contristé sachant que dans les circonstances actuelles, il ne faut pas que vous vous livriez à de telles largesses, comme je vous l’ai déjà plusieurs fois souligné. En tout cas, je vous remercie de tout cœur de me gâter pareillement.

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