Paris le 9 aout 1966

Ma chère petite Suzanne
Je vous adresse tous mes meilleurs vœux d’heureuse fête, ainsi que mes souhaits de continuation de bonnes vacances pour vous et votre maman.
Conformément à votre recommandation, je ne vous écrirai que quand je serai parvenu à Concorès.
Je vous embrasse de tout cœur.
Henry

Paris le 9 aout 1966
Ma chère petite Suzanne
Excusez mon étourderie. Je m’aperçois que j’ai laissé sur ma table la petite offrande que je vous destine à l’occasion de votre Fête.
Je viens donc ici combler ma perte de mémoire et vous quitte en vous embrassant bien affectueusement.
Henry