Paris le 23 décembre 1963

Ma chère petite Suzanne

Vraiment vous me comblez ! Vous me traitez en véritable enfant gâté !! Comment vous remercier de ce magnifique envoi de délicieux chocolats, ce qui me gêne car je suis confus que vous fassiez de pareilles dépenses pour moi.

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Paris le 28 octobre 1963

Ma chère petite Suzanne

Je reçois à l’instant votre lettre à laquelle je réponds sur le champ. Bien sûr ce que vous m’écrivez m’apporte une déconvenue, mais je sais bien que dans la vie les projets ne se réalisent que rarement et nous vivons, pour reprendre le vers de Baudelaire, « dans un monde où l’action n’est pas la sœur du rêve« .

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Paris le 10 octobre 1963

Ma chère petite Suzanne

J’ai été ravi de recevoir vos deux lettres qui m’apportèrent chacune de bien agréables plaisirs.

D’abord vous me donniez de longues nouvelles de vos vacances et j’ai été heureux de vous savoir en parfaite forme physique.

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Concorès le 16 septembre 1963

Ma chère petite Suzanne

Une fois de plus je dois vous adresser un sincère mea culpa. J’aurai dû – et je voulais – vous écrire plus tôt, mais mon séjour à Concorès a été marqué par un fâcheux accroc.

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Concorès 9 aout 1963

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Paris 29 avril 1963

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Paris le 11 avril 1963

Ma chère petite Suzanne

Vous allez dire et surtout penser que je suis un homme à éclipse. Hélas ! et j’en suis, croyez-le bien, le premier affligé, et je vous prie, de tout cœur, de me pardonner un trop long silence qui ne vient pas de ma volonté.

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30 décembre 1962

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Paris le 30 décembre 1962

Ma chère petite Suzanne

Au moment de vous écrire, bien des pensées m’assaillent et se bousculent dans mon esprit et dans mon cœur. Mais comment tout dire à la fois ! Procédons par ordre.

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Concorès le 11 sept. 1962

Ma chère petite Suzanne

J’ai tardé un peu malgré moi à vous écrire, car je voulais adjoindre à ma lettre une photo récente de moi que les personnes qui ont loué ma demeure ont bien voulu prendre ; mais le développement des plaques ayant tardé à se faire, je viens de n’obtenir mon image que ces jours-ci. Je vous la communique donc. Vous pourrez constater le maigrissement de ma figure depuis que vous m’avez vu.

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